Hommages

Prunelle


Ma petite Prunelle surnommée « Pruprune » ou « ma prune », tu es née le 19 février 2005 et es arrivée chez nous le 20 mars 2005 à la maison afin de venir tenir compagnie à ma première femelle Poupette. Tu étais toute petite, toute mignonne et pourtant déjà si vive. Tu reconnaissais le bruit du paquet d’extrudés et tu criais déjà après Poupette mais je devais attendre la quarantaine avant de te la présenter. Quand cette rencontre a enfin eu lieu, Poupette n’a pas voulu directement de toi et tu étais triste. Tu étais obligé de rester seule dans ta cage et ça tu n’aimais pas. Tu as toujours aimé te gambader, courir et te promener dans tout le désordre que je laissais pour laver les cages. Et puis tu étais bien plus affectueuse que Poupette. Tu aimais venir sur moi, t’allonger, me lécher les doigts et même le visage. Quand je te grattais le dos, tu t’étirais de tout ton long et tu roucoulais de plaisir. Tu étais totalement l’opposé de Poupette. Quand enfin, elle t’a accepté avec elle, tu étais aux anges et moi aussi ! J’aimais vous voir toutes les deux vous chamailler ou vous endormir côte à côte.

Ma prune, je n’oublierais jamais ton petit minois d’amour, ton petit nez tout plat et ta petite mèche rebelle sur la tête. Tu étais encrée dans ma vie mais la raison a décidé de t’enlever moi ce 22 juillet 2008. Mais tu es toujours gravé dans mon cœur et ce à jamais. Je t’aime ma prune d’amour, je t’aimerais toujours et je continue de prendre soin de ta copine Poupette. Veille sur elle d’où tu es… J’ai les larmes aux yeux en écrivant ce petit texte pour toi. Je repense à l’instant où tu m’as quitté, où tu nous as quittés. Le fait que tu aies attendu ma venue auprès de toi avant de t’en aller dans un dernier souffle m’a prouvé ton amour envers moi. Mais quel gros choc de t’avoir vu partir sans pouvoir rien faire. Pourquoi ma prune ? Je voulais tellement te guérir et peut-être que ces piqûres t’ont finalement achevées. Mais sache que j’ai tout fait pour toi parce que je t’aimais et que je continue de t’aimer là-haut, au petit paradis des chons.

Adieu ou peut-être seulement au revoir. Le temps fera en sorte, qu’un jour, nous nous retrouverons…

Rongeuse